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Auray

La ville de Douarnenez en photos

Douarnenez était un grand port sardinier du Finistère

Au fond d’une des plus belles baies de France, Douarnenez garde encore la réputation d’un grand port sardinier, même si la sardine, au fil du temps, c’est fait rare et a entraîné une diversification des pêches autrefois saisonnières. Port de pêche florissant jusqu’à la fin des années 1970 et début 1980, le port de Douarnenez a connu un très net déclin depuis. L’activité de la pêche y est aujourd’hui marginale mais de nombreux bateaux y débarquent leur pêche. C’est également un port de plaisance important dans le Finistère, avec Tréboul et le Port-Rhu.

Port de pêche florissant jusqu’à la fin des années 1970 et début 1980, Douarnenez a connu un très net déclin depuis. L’activité de la pêche y est aujourd’hui marginale mais de nombreux bateaux y débarquent leur pêche. C’est également un port de plaisance important du Finistère avec Tréboul et le Port-Rhu. Aujourd’hui, Douarnenez se tourne de plus en plus vers le chalutage et la pêche au thon.

Ses habitants portent le nom de Douarnenistes et leurs voisins les appellent parfois les Penn Sardin, en référence au travail des ouvrières des conserveries qui consistait entre autres à couper la tête des sardines (penn : tête en breton).

La commune fut agrandie en 1945 en fusionnant avec les communes voisines de Ploaré, Pouldavid et Tréboul, et elle est aujourd’hui connue comme ville aux trois ports (port-Rhu, port du Rosmeur, port de Plaisance).

Douarnenez est une importante station balnéaire, bien équipée en hôtels, terrains de camping, centre de thalassothérapie, sans compter les possibilités offertes pour la plaisance et la pêche sous-marine.

Les Gras de Douarnenez est le nom que l’on donne à son carnaval qui s’y déroule pendant 5 jours durant la mi-février et consiste en une succession de bals et de défilés carnavalesques.

Les Gras de Douarnenez

Les Gras de Douarnenez sont particulièrement connu à travers la Bretagne surtout le premier soir où est intronisé le roi du carnaval nommé le Den’Paolig (pauvre bonhomme). Cette mascotte est brûlé le dernier jour et laisse place à un rendez-vous de personnes costumées sans thème défini sur le vieux port.